SONDAGE : Un nouveau rapport d'Aviva Canada montre qu'un Canadien sur trois envisage de déménager et a d'autres projets quant à son mode de vie pendant et après la pandémie.

Le rapport Notre mode de vie donne un aperçu de la valeur perçue des propriétés, des projets – tant d'achat, de vente que de déménagement –, des rénovations réalisées ou prévues, des biens ajoutés aux maisons canadiennes et des habitudes de transport des personnes habitant en banlieue.

17 juin 2021 (Toronto, Ontario) – Le rapport Notre mode vie publié aujourd’hui analyse les résultats d’un sondage pancanadien commandé par Aviva Canada et effectué par Léger qui interrogeait les Canadiens sur leur vie et leurs aspirations; le rapport analyse également des données d’autres sources sur les habitudes de vie actuelles et post-COVID. Le rapport montre que les Canadiens envisagent de s'installer dans des régions plus rurales, qu'ils donnent la priorité aux rénovations de leur jardin, mais qu'ils ne protègent pas leur maison autant qu'ils le devraient, même s'ils y passent plus de temps que jamais. Le rapport complet peut être consulté ici.

« L'année dernière ne ressemble à aucune autre, et nous continuons à ressentir les effets de la pandémie de COVID-19 dans le monde entier, tant dans nos collectivités que dans nos foyers. Ce rapport examine les différentes facettes de nos vies en cette période particulière et comment les gens se sont adaptés – et pas uniquement temporairement. Il montre que beaucoup espèrent voir certains de ces changements devenir permanents, de sorte que notre mode de vie change véritablement », déclare Phil Gibson, directeur général de l’Assurance des particuliers à Aviva Canada.

Les principales catégories et conclusions du rapport sont les suivantes :

1. Valeurs des propriétés, aspirations d'achat et de vente

-         Trente-et-un pour cent des Canadiens envisagent de déménager en raison de la pandémie, et parmi eux, plus d’un tiers considère déménager dans une zone semi-rurale ou rurale.

-         La nécessité de trouver un logement abordable a été la principale raison de l'achat (29 %) et de la vente (25 %) non planifiés des habitations ou de la location non planifiée d’une nouvelle habitation (29 %) pendant la pandémie.

-         Les Canadiens sont plus optimistes que réalistes lorsqu’ils envisagent d’accéder à la propriété pour la première fois, et 64 % indiquent que leur projet d'achat, de vente ou de déménagement a été retardé d'au moins un an.

-         La plupart des Canadiens connaissent la valeur de leur habitation – surtout dans les marchés dynamiques de l’Ontario et du Québec.

-         Lorsqu'on demande aux propriétaires quel est, selon eux, l’impact de la COVID-19 sur la valeur de leur propriété, les Canadiens continuent d'être optimistes. Plus de la moitié d’entre eux (55 %) croient en effet que la valeur de leur habitation a augmenté depuis le début de la pandémie.

« Les Canadiens qui envisagent de déménager dans des secteurs complètement différents et loin des grandes villes peuvent avoir quelques surprises. Non seulement les grillons sont beaucoup plus bruyants la nuit que ce à quoi on pourrait s'attendre, mais il faut aussi penser à autre chose qu'à l'hypothèque et aux taxes foncières, il faut notamment penser aux questions d'assurances, qui diffèrent en zone rurale. L'âge de la maison, la proximité des bornes-fontaines et des casernes de pompiers, ainsi que les risques d'inondation sont des facteurs que les assureurs prennent en compte », dit Phil Gibson.

2. Rénovation et amélioration des habitations

-         L'année dernière, 17 % des Canadiens ont rénové leur habitation, et l’amélioration la plus prisée a été celle du jardin.

-         Les propriétaires qui ont effectué des rénovations au cours de la dernière année ont dépensé en moyenne 4 525 $. Les changements les plus coûteux ont consisté à ajouter une annexe à la maison, à améliorer le jardin, à rénover le sous-sol pour créer un espace de divertissement et à ajouter un espace bureau à domicile, pour un coût moyen de 10 800 $, 6 222 $, 3 789 $ et 2 796 $, respectivement.

-         Au cours des 12 prochains mois, 13 % des Canadiens prévoient modifier leur domicile en le rénovant. De ce groupe, les deux tiers amélioreront leur jardin, tandis que les autres comptent rénover leur sous-sol pour y aménager un espace de divertissement ou un espace de vie supplémentaire. Les Canadiens ayant des enfants de moins de 18 ans vivant à la maison sont deux fois plus nombreux (36 %) à envisager des rénovations que ceux n'ayant pas d'enfants de moins de 18 ans (18 %).

-         Seul un tiers des personnes qui ont modifié leur habitation ont fait appel à quelqu'un pour effectuer les travaux, la plupart des personnes s'en étant chargées elles-mêmes. Parmi celles qui ont modifié leur habitation, 40 % ont informé ou ont l'intention d'en informer leur assureur, tandis que plus de la moitié ont déclaré ne pas avoir besoin de le faire.

« Les gens ont passé tellement de temps chez eux l'an dernier qu’il n'est pas surprenant que les Canadiens modifient leurs espaces pour répondre à leurs besoins actuels. Ceux qui prévoient apporter des changements majeurs à leur domicile doivent savoir que les rénovations, comme l'aménagement d'un sous-sol, l'enlèvement de supports structuraux ou la construction d'une annexe, peuvent avoir une incidence sur la façon dont leur assurance les protège. Ces rénovations peuvent modifier les coûts de reconstruction. Il est toujours bon de consulter son courtier ou son agent d'assurance lorsqu’on envisage des rénovations afin de vérifier que les protections d’assurance sont adéquates », ajoute Phil Gibson.

3. Biens et mesures de protection

-         Trente pour cent (30 %) des Canadiens déclarent avoir acheté un ordinateur du fait du confinement, 28 % ont acheté de nouveaux éléments de décoration intérieure et 26 % ont fait différentes acquisitions telles que des jouets, des abonnements télé et des consoles de jeux vidéo pour distraire les enfants. En outre, 22 % des Canadiens ont acheté de nouveaux appareils de communication, comme des téléphones mobiles et des casques d'écoute.

-         La plupart des Canadiens n'ont pas adopté de mesures de sécurité proactives supplémentaires pour protéger leur habitation contre des événements comme les phénomènes météorologiques extrêmes et les violations de domicile. Si l’on exclut des mesures de protection contre l’incendie comme les alarmes et les extincteurs, moins de 25 % des Canadiens ont fait installer d'autres moyens de protection comme des systèmes de sécurité résidentielle, de surveillance vidéo (intérieure et/ou extérieure) et de détection d'eau.

-         Vingt pour cent des Canadiens âgés de moins de 35 ans déclarent avoir installé un système vidéo ou une caméra de sécurité à l'extérieur de leur habitation et près de 13 % disent utiliser des sonnettes intelligentes.

« Étant donné que les phénomènes météorologiques violents et les dommages causés par les eaux de surface sont devenus les principales causes de sinistre, j'encourage les Canadiens à tirer parti de la technologie pour protéger leur habitation. Ils devraient communiquer avec leur courtier ou leur agent d'assurance afin de savoir si des rabais leur sont offerts contre l’installation d’un dispositif intelligent pouvant les alerter en cas de fuites d'eau, ou contre l’installation de clapets anti-refoulement pour arrêter automatiquement le refoulement d’égouts ou encore d’un système de sécurité », dit Phil Gibson.

4. Habitudes de transport et avenir des trajets entre le domicile et le lieu de travail

De nombreux Canadiens ont acheté un véhicule neuf et sont hésitants à l’idée de commencer à utiliser les transports en commun. Bien que les Canadiens aient moins utilisé leur voiture et que cette diminution soit temporaire, l'attitude des Canadiens à l'égard des transports en commun pourrait avoir changé de façon permanente, car la COVID-19 a eu un impact sur la façon dont les gens envisagent le mode de transport entre leur domicile et leur lieu de travail à l'avenir.

-         Près de 60 % des Canadiens déclarent qu'il est peu ou pas du tout probable qu'ils utilisent les transports en commun ou les services de covoiturage à l'avenir et qu'ils sont beaucoup plus susceptibles d'utiliser leur propre véhicule pour se déplacer.

-         Un Canadien sur cinq pense que la modification des protocoles de télétravail qui seront mis en place par les entreprises après la COVID-19 aura une incidence sur les habitudes de transport.

-         En 2020, la demande de véhicules a augmenté dans tout le pays : 8 % des Canadiens ont déclaré avoir acheté une voiture neuve ou d’occasion au cours des trois derniers mois et 15 % envisagent d’acheter une voiture neuve ou d’occasion au cours des six prochains mois.

 

Notes aux rédacteurs

  • Le sondage a été réalisé en ligne par Léger auprès de 2 506 Canadiens de 18 ans et plus qui sont actuellement propriétaires ou locataires d’une habitation au Canada. Le sondage a été réalisé entre le 15 et le 23 mars 2021. La marge d’erreur est de ± 2,5 %, 19 fois sur 20.
  • La portion abordant la question des transports incluse dans le rapport provient d’un sondage commandé par Aviva à Pollara sur le comportement des consommateurs au Canada et réalisé en janvier 2021.
  • Le rapport complet peut être lu ici.

 

À propos d’Aviva Canada

Aviva Canada est l’un des plus importants groupes d’assurance de dommages au Canada et une filiale d’Aviva plc au Royaume-Uni. Elle offre des produits d’assurance aux entreprises pour protéger leurs actifs ainsi qu’aux particuliers pour protéger leur résidence, leur automobile, leurs loisirs et leur mode de vie. Aviva Canada et ses 4000 employés ont à cœur de construire un avenir durable pour le bien-être de près de deux millions et demi d’assurés, de ses employés, des diverses collectivités et de notre planète. En 2019, Aviva Canada a lancé le programme Unis pour des routes plus sûres qui fait appel à des solutions fondées sur des données et des partenariats stratégiques pour que la sécurité des routes canadiennes devienne une réalité pour tous. En 2021, nous avons annoncé notre objectif de devenir une entreprise « Zéro émissions nettes » d’ici 2040 – le plus exigeant fixé par une grande compagnie d’assurance dans le monde.

 

Pour en savoir plus, consulter le site aviva.ca, le blogue ou les pages Twitter, Facebook  et LinkedIn de la compagnie.

 

 

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Communications avec les médias :

Janis McCulloch
Spécialiste, Relations publiques
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